Deux grands points ont meublé cette assemblée générale ordinaire. Il s’agit de la présentation du bilan des activités menées au cours de l’année 2024 et l’exposé du plan de travail annuel de l’année 2025. « Cette assemblée générale est un moment historique. Je nous souhaite de la vivre pleinement », a martelé Léonide-Michael SINSIN, Président de l’association lors du lancement des hostilités.

Au cours de l’année 2024, AISER-Bénin a mis les bouchés doubles pour réhausser son image de marque. Parmi les prouesses réalisées, on peut citer les multiples adhésions, l’enregistrement officiel de l’association, la signature d’un partenariat avec le ministère de l’industrie et du commerce, un financement à hauteur 20 millions octroyé par ENDev et la réalisation de la plupart des activités du PTA 2024 (séances d’échanges pour l’appel à participation de projets, école d’été…). En dehors de ces actions suscitées, biens d’autre pourparlers sont en cours afin d’officialiser le partenariat avec la CCIB et l’ARE.

Bien que la réalisation des activités du PTA 2024 soit un succès, les moyens n’ont pas forcement suivi selon le point fait par le Trésorier général de ladite Association, Gildas DOBOLIGLO. Après l’exposé du rapport financier, il a exhorté les membres de AISER-Bénin à redoubler d’effort pour se mettre à jour vis-à-vis de leur cotisation.

Pour le compte de l’année 2025, une dizaine d’activité a été prévue pour meubler la vie de l’association. Il s’agit entre autres de : la formation des membres, des ateliers de sensibilisation, la consolidation de nouveau partenariat, etc. L’initiative phare de cette année reste et demeure le prix Faustin DAHITO. Pour rappel, le budget prévisionnel 2025 est de quatre vingt trois millions cinq cents milles de FCFA (83.500.000 F CFA). Soit vingt-trois millions de francs (23 .0000.000 F CFA) pour la vie de l’association et soixante millions de francs (60.000.000 F CFA) pour les activités entrant dans le cadre du prix Faustin DAHITO.

Par ailleurs, le Président Léonide-Michael SINSIN dans son discours de clôture a laissé entendre que « Aiser-Bénin est riche d'une histoire qui fait son chemin et d'un potentiel qui n'est plus à démontrer. Parce que partout dans le monde, les énergies renouvelables changent la donne et qu’aucunement chez nous leur déploiement massif ne doit se résumer aux centrales à injection réseaux ou lampadaires solaires ».